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7.12.21

Refuge et symboles

 Texte du 6 décembre

C'est troublant ces symboles, comme s'ils nous cherchaient querelles, encore. Logos go! 

Ça donne des frissons. Je suis d'accord, ça soulève je ne sais quoi de plus troublant.

Le petit boniment de chacun et chacune sur son bandeau, sa bannière, visiblement, des slogans.

Indifférence, désespoir, optimisme-réalisme, inadmissible,  pour et contre, j'en passe. Un immense fourre-tout médiatique. 

Néanmoins, ils ne sont pas insipides, hypocrites et obséquieux comme certains, ceux qui avancent avec candeur, gentiment.[avancer sur la pointe des pieds.  (ajout du 9 décembre)]

Ce que je reproche à monsieur Z foulard, c'est son indélicatesse. Maintenant, son message est désormais limpide.  

J'ai encore le sentiment que l'on se dirige vers un grand nettoyage de la terre, cette maison si ancestrale. 

Doit-on mettre fin au commerce des armes? L'abcès ultime que nous portons sous le bras ou dans la bouche, entre les dents
Hélas, l'homme, même ramené à l'âge de pierre s'inventera des moyens pour chasser, tuer, étrangler, tout naturellement.  

Il n'a pas en lui la mystique patience de faire croître une semence nourricière, objet d'une scène  contemplative, saine pour l'âme,  le zénith de la vie, toute courte. 

Je me vautre, encore dans une envolée orbitale. 

Ma galaxie QR au code universel, mon étang dialectique, fait de thèse, d'antithèse et dans lequel étang, on peut repêcher la synthèse de ma pensée.  


Et si l'insecte autant soit peu minuscule soit-il, il, l'homme,  se verra désespéré devant sa propre impuissance, sa grande fragilité à la vue de gendarmes (insecte rouge et noir utile). De colère insoupçonnée,  damné,  il se verra, devant sa récolte anéantie. 

Il abattra aussitôt repéré sa première proie venue, fabriquera une lame pour la dépecer. 

Par la suite, ce trophée qu'il partagera dans un esprit clanique.

Et si le voisin veut lui enlever une portion de son butin de chasse, alors là, il retournera cette lame contre ce dernier.
Je crois que nous en sommes toujours à l'égocentrisme viscéral et à l'endurcissement du cœur, la toujours survie.

L'amour, c'est ce qu'il y a de plus considérable. Mais comment faire? Comment dire?

Oui, à nouveau, je me réfugie dans la toile, la caverne gmail, là où on ne me verra plus. 

Là, à opiner du bonnet vert pomme. Moi aussi, le bonnet.

Je touche la fin du clavier. 

Point.

À suivre, ensemble et victorieux, mais vers quelle victoire déjà?  

N

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