Pappus
Un
été sans mots
à
passer à entendre
le
frisson du vent
dans
les feuilles perforées
par
un plat rayon
où
d’une bouche
aux
lèvres arrondies
sort
un baiser fuchsia
pour
des yeux ensoleillés
des
jambes élancées
course
contre des pas
fâché
contre une brioche
le justaucorps mène
les
regards
derrière
soi
les
bras angulés
pour
une fois encore
l’oreille
chargée
sans
faute
avec
soi avec l’aube
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