12.11.16
Feu matinal
Aujourd'hui, un 12 novembre, un samedi, je m'éveille à la nuit agonisante. Je me lève, debout est le jour du 12 novembre. Dites monsieur William, que vais-je faire de ce samedi. M'appartient-il? jusqu'à ma dernière seconde sortante, jusqu'à son dernier souffle montant?
11.11.16
Réverbère décembre2016
Réverbère122016
Une amaryllis en spectacle
En remerciement de m'avoir prêté, en son absence, l'appartement ensoleillé situé à environ 150 mètres du controversé et tout aussi magnifique pont bleu et du Roundhouse Project j'ai choisi d’offrir deux bulbes d'amaryllis. Un flamboyant, l'autre plutôt large et rayé. Porté par la saison c'est dans un centre jardin que je me suis retrouvé, non par hasard. Devant l'incontournable tentation, un choix s'imposait. Attendre, allait être un plaisir. N'oublions pas, les enfants les adorent, puisque c'est ce genre de plante tropicale, ici d'intérieur, qui pousse parfois en vitesse, selon les soins et les conditions environnantes. Un plante à inspirer un conte.
Décrivez-moi
Ce n'est pas la première fois que j'encourage ceux et celles qui me lisent, et les autres également, de s'en offrir un et même deux, ou mieux, en faire cadeau. Dans peu de temps nous verrons apparaître dans le commerce le traditionnel poinsettia et bien d'autres plantes du genre. Ce que l'amaryllis a de particulier et de spectaculaire, à part sa croissance rapide, ce sont ses énormes fleurs muettes. Il y a leur taille imposante et leur nombre pluriel; mais il y a surtout ces teintes de rouge, vives et stimulantes.
Ah, attention! pour les nostalgiques de la blancheur hivernale, il y a le cultivar Mont blanc qui saura vous héliporter vers des sommets enneigés.
Questionnez-moi
Une amaryllis, la première année, fleurira sans histoire. C'est promis. Pour le reste, il faudra suivre les conseils du producteur ou aller se renseigner en ligne. Ce n'est pas acquis, ni garantie, mais y voir un défi. Cependant, pour mettre toutes les chances de votre côté, choisissez un pot large sans être trop profond légèrement surdimensionné d'environ 20 cm de diamètre dans lequel vous aurez pris soin d'y déposer un terreau riche en matière organique.Un bulbe a toujours des réserves lui permettant de mener à terme sa première floraison. Toutefois, l’année suivante pourrait vous rendre perplexe.
Pour cette raison, vous devez lui donner la possibilité de se refaire des forces avec une fertilisation soutenue et un rempotage, disons, dix à douze mois plus tard incluant un temps de repos d’août à octobre. Trois mois.
Question grosseur, je conseille ceux de calibre supérieur à la moyenne, c'est à dire 42 cm. Les plus petits font autour de 28 cm. Comme vous l'aurez peut être deviné, ce premier format comptera un plus grand nombre de fleurs allant parfois jusqu'à neuf d'entre elles, distribuées sur trois tiges. Un attrait visuel pour les passants et; où vos invités sauront reconnaître vos talents horticoles et votre intérêt.
Comparez-moi
Vous savez, pour verdir leur intérieur, des gens choisissent parfois des araignées avec ses petits (nommés rejets ou plantules) tous agrippés à une ou des tiges menant à la plante suspendue, et combien résistante. C'est un chlorophytum comosum que la NASA en 1989 a qualifié de dépolluant remarquable. Il est dit que c'est une façon économique de purifier l'air. Pour faire simple et résumer mon propos, l'araignée est à la semaine ce que l'amaryllis est au dimanche. L'une travaille, l'autre fleurit.
Apportez-moi
Mais j'insiste, accordez-vous un petit extra, puisque décembre est un long mois avec trente et un jours courts.
Et sur ce, je dois conclure, je vote encore une fois pour le genre hippeastrum. Pour chauffer l'hiver, vivement l'amaryllis en habit rouge venue de Hollande. Quel réceptacle! quel ton!
Hippeastrum (amaryllis)
10.11.16
Réverbère novembre 2016
Ronde est la fête
Il était une fois
plantée dans une eau refroidie et terreuse
une île
peuplée de feuillus dépouillés
et de géants résineux
Un trente et un
pluvieux d’octobre à novembre
un chant mi-déclamé mi-récitatif
fait de sons gutturaux
du haut des cieux d’où ceci d’où celà
Puisqu’ils entendirent venir à eux
ce même soir de lune évanescente
une mélopée partir de la bouche ensoleillée
de citrouilles aux dents aiguës et végétales
Alors !
Mais pourquoi ?
Étonnés..
que voyaient-ils?
J’assistai à cet instant
quand
assemblés
ruelle de l’impasse
des vieillards et des ombres
dont le regard malicieux en disait long
et voir en spectacle toutes ces grosses bêtes
presque masculines
coiffées d’une seule couleur orangée
Il y a…
au-delà d’un demi-siècle
autant de jours autant de nuits
filles et garçons venaient tout juste d’avoir
plus ou moins l’âge raisonnable de rêver
Ah !
courir un soir autrement
comme
surprises et friandises
courir enfin l’Halloween
sur son trente et un
avant qu’il soit trop tard
23.9.16
Reverbère octobre2016
Il y a quelques semaines, j'ai vécu l'expérience suivante. Je lui ai dit, vas, la météo, tu la vivras demain. Ne cherche pas. Elle te trouvera bien au détour du jour suivant.
Des fraises au champs! Alors, j'y crois. Elles sont là, au soleil, comme endormies, en attente de mûrissement. Pas beaucoup, que deux semaines encore, tout au plus, et elles seront en bouche. C'est la mi-septembre, je quitte le sentier cyclable et j'entre dans un champs où je suis vite attiré vers ces rangs étroits. Je suis sur Saanich Est, avant la grande courbe de la ferme d'élevage de la famille Macdonald. Juste avant l'arbutus centenaire. Rien d'annoncé, sinon que quelques travailleurs affairés à la récolte finale.
C'est ce qu'on appelle faire une incursion.
Ce n'était pas ma première à vélo. J'en avais fait une dans un champs de
choux, à l'intersection d'Island View et le sentier Lockside Trail.
J'ai pas posé de question, j'ai foncé. Alors là, ça vaut le coup. Même juste pour observer. On appelle cette variété, des plants de fraise remontants, ils produisent en continu, et non d'un coup. Cependant, les jours gris de retour, la récolte chute et le petit fruit est en manque de chaleur. On passe à autre chose puis on en garde que de bons souvenirs. Et l'autre chose? c'est la fraise importée. Donc, fini pour les fraises d'ici... à la saison prochaine.
J'ai pas posé de question, j'ai foncé. Alors là, ça vaut le coup. Même juste pour observer. On appelle cette variété, des plants de fraise remontants, ils produisent en continu, et non d'un coup. Cependant, les jours gris de retour, la récolte chute et le petit fruit est en manque de chaleur. On passe à autre chose puis on en garde que de bons souvenirs. Et l'autre chose? c'est la fraise importée. Donc, fini pour les fraises d'ici... à la saison prochaine.
Semer, planter ou acheter. Toujours passer
à table. C'est notre karma quotidien, au moins deux fois, au plus six
avec des collations qui nous apaisent le moment, surtout, avant la nuit.
Si on devait se réfugier dans l'autosuffisance alimentaire intégrale,
c'est à dire tout cultiver, tout récolter, parfois tout perdre, nous
serions très nombreux à baisser les bras devant le rappel journalier de
l'estomac.
La population rurale planétaire se rétrécie et c'est la
suite naturelle et comptable de la hausse remarquable de gens vivant en
milieu urbain. Sauf, qu'il existe toujours de l'autre côté du rideau une
communauté humaine qui pratique une agriculture de subsistance. Comme
ça, subsister pour aller voir à quoi demain ressemble. Un combat, du
matin aux étoiles, à saveur de résilience. On nous les présente, souvent
dans des reportages choc dans un fond d'écran plat.
De l'agriculture durable, c'est ce qu'il
nous faut. Je n'en dit pas plus, pour l'instant. C'est celle qui
parviendra à irradier ces maladies qui nous accablent. Je vous parlerai
de la ferme des Quatre-Temps, d'Hemmingford, en Montérégie. Oui, un
secteur auquel s'intéresse activement l'empire Power de la famille
Desmarais. Une agriculture viable et de taille raisonnable, la grandeur
d'un terrain de soccer.
Virage.
Allons, pas toujours, mais ce mois-ci je parle à l'écriture, d'horticulture dans l'assiette, et un peu moins d'ornemental, ce superflu qui attendra, quand la caisse sera à sec. Je veux simplement dire que c'est beaucoup par l'ornemental que j'emplis mon assiette.
Justement, à Sidney, je suis à exécuter des travaux de taille de rosiers, jeunes et vieux, surtout très ligneux. Ils ont perdu leur propriétaire et sont devenus orphelins. Et sans irrigation aucune, qu'un arrosage occasionnel au boyau. Au soleil, ces mêmes rosiers sont allés puiser en profondeur leurs éléments essentiels. Les rosiers font tout pour plaire.. ou déplaire. Comment font-ils pour plaire? Ils font dans le spectaculaire, des couleurs et du parfum à faire pencher; et enfin, nous demandent de les laisser tranquilles. D'autres, c'est le contraire, ils ne suffisent pas, ils font faiblards et tolèrent peu la compétition. Alors, ils exposent leur misère et vous abandonnent, un printemps venu. Ils filent au paradis. Ah! et si le paradis était fait d'eau, d'insectes à l'infini, d'obscurité et de lumière...
Allons, pas toujours, mais ce mois-ci je parle à l'écriture, d'horticulture dans l'assiette, et un peu moins d'ornemental, ce superflu qui attendra, quand la caisse sera à sec. Je veux simplement dire que c'est beaucoup par l'ornemental que j'emplis mon assiette.
Justement, à Sidney, je suis à exécuter des travaux de taille de rosiers, jeunes et vieux, surtout très ligneux. Ils ont perdu leur propriétaire et sont devenus orphelins. Et sans irrigation aucune, qu'un arrosage occasionnel au boyau. Au soleil, ces mêmes rosiers sont allés puiser en profondeur leurs éléments essentiels. Les rosiers font tout pour plaire.. ou déplaire. Comment font-ils pour plaire? Ils font dans le spectaculaire, des couleurs et du parfum à faire pencher; et enfin, nous demandent de les laisser tranquilles. D'autres, c'est le contraire, ils ne suffisent pas, ils font faiblards et tolèrent peu la compétition. Alors, ils exposent leur misère et vous abandonnent, un printemps venu. Ils filent au paradis. Ah! et si le paradis était fait d'eau, d'insectes à l'infini, d'obscurité et de lumière...
Sur un banc, au fond du jardin ou ailleurs, faisons une pause.
* Photos LNH
Louis-Normand Hébert
horticulteur
20.7.16
Rocaille de la rue Bellevue...
Sous le soleil de plomb tout était au beau sec, aujourd'hui, 20 juillet. Un jardin situé dans une cuvette où cotonéaster rampant, œillet de poète, alchémille, lewitsia et combien d'autres, résistantes, dans une semi immobilité devant une sécheresse quotidienne, rue Bellevue. Et la lavande, le bleu graminée, helictotrichon sempervirens, le fuchia rustique et le muguet. Considérer ces trois dernières et l'hélibore comme plantes repoussantes auprès des chevreuils.
Fuchsia rustique |
15.6.16
Réverbère bulletin estival2016/bleu jardin
bleu
jardin
c'est
la nuit serrée contre le froid
planté
dans un croissant de passage
bleu
jardin
d'un
jour qui sait
s'abandonner
au fond de tout
bleu
jardin
ce
premier donné dans un geste sourd
et
croît au bout d'une main mystérieuse
bleu
jardin
cette
seconde nature
qui
se fait saisir
devant
une courte lune
Bleu
jardin…
ou
les autres
debout,
étendus ou encore pliés
de
travailleurs corvéables
Venus
du chaud
l'oeil cloué dans la récolte
bleu
jardin
chargé
d'amandes gonflées
à
travers des vols incessants
et
journaliers
bleu
jardin
est
un autre encore
inconnu
et invisible
il
court au ras le sol
dans
une terre refroidie
bleu
jardin
qui brille à l'ombre
qui enfonce sa force
devant
la montée du ciel enflammé
bleu
jardin
quand
je tire les rideaux
et
laisse pénétrer l'aube
avec
son large soleil
Alors,
ce
bleu jardin se lève
au
coup de la seconde
chargé
des odeurs du midi
Ô
jardin anonyme
4.6.16
Réverbère estival 2016
bleu
jardin
c'est
la nuit serrée contre le froid
planté
dans un croissant de passage
bleu
jardin
d'un
jour à
l'autre
bleu
jardin
ce
premier donné dans un geste sourd
et
croît au bout d'une main mystérieuse
bleu
jardin
cette
seconde nature
se
fait saisir
devant
une courte lune
des
visiteurs pour une récolte
bleu
jardin
chargé
d'amandes gonflées
à
travers des vols incessants
et
journaliers
bleu
jardin
est
un autre encore
inconnu
il
court au ras le sol
dans
une terre refroidie
bleu
jardin
qui
brille d'éclat
et
enfonce sa force
devant
la montée du ciel enflammé
bleu
jardin
quand
je tire les rideaux
et
laisse entrer l'aube
avec
son large soleil
Alors,
ce
bleu jardin se lève
avec
une odeur de midi
Jardin anonyme
7.5.16
Réverbère mai 2016
Parmi les grands
Je, je, je, ainsi va . Mon nom est conifère. Je suis Sapin de Douglas. Il s’exprimait toujours de la sorte lorsqu’il parlait de son arbre préféré. C’était son modèle, un arbre à sa mesure. Il s’appelle Marc. Biologiste de carrière en visite pour la première fois dans notre région côtière du pacifique. Son arbre chouchou : le Sapin de Douglas, je crois. Ou encore le Pseudotsuga Menziesii pour faire latin. Quel nom! Un nom propre presque devenu commun
puisqu’il existe une rue Douglas, un Mont, une place peut être, et ainsi de suite. Moi, mon choix s’est arrêté sur une autre espèce. Parmi les grandes tailles, c’est le Sequoia Sempervirens ou Séquoia. Il a la peau d’un rouge tirant sur l’oranger; et tout droit, comme une aiguille. Son écorce est très creusée, sur la surface inférieure de l’arbre. Il y a aussi le Sequoia géant (Sequoiadendron Geanteum). Mais lui, il fait immense. Trop. Il faut que je m’éloigne pour le saisir dans sa totalité. De vrais cylindres puisant l’eau à même le sol pour ensuite propulser la vie toute entière vers le haut. Une usine végétale. Vous savez où les trouver? Dans quelques lieux dispersés à Victoria et avec certitude au Jardin botanique VanDusen. Là, ils sont bien identifiés.
Enfin, à ma récente visite, une colonie de pivoine arbustive était chargée de boutons floraux sur le point d’éclore. Nous étions passés trop tôt en saison, pour pouvoir les admirer.
Un Jardin à voir, surtout depuis l’ouverture de son tout nouveau pavillon d’accueil. Et pour la suite, écoutez La matinale à CILS 107,9 FM
1
2
3
Photo 1 : Sapin de Douglas
Photo 2 : Séquoia
Photo 3 : pivoine arbustive
Je, je, je, ainsi va . Mon nom est conifère. Je suis Sapin de Douglas. Il s’exprimait toujours de la sorte lorsqu’il parlait de son arbre préféré. C’était son modèle, un arbre à sa mesure. Il s’appelle Marc. Biologiste de carrière en visite pour la première fois dans notre région côtière du pacifique. Son arbre chouchou : le Sapin de Douglas, je crois. Ou encore le Pseudotsuga Menziesii pour faire latin. Quel nom! Un nom propre presque devenu commun
puisqu’il existe une rue Douglas, un Mont, une place peut être, et ainsi de suite. Moi, mon choix s’est arrêté sur une autre espèce. Parmi les grandes tailles, c’est le Sequoia Sempervirens ou Séquoia. Il a la peau d’un rouge tirant sur l’oranger; et tout droit, comme une aiguille. Son écorce est très creusée, sur la surface inférieure de l’arbre. Il y a aussi le Sequoia géant (Sequoiadendron Geanteum). Mais lui, il fait immense. Trop. Il faut que je m’éloigne pour le saisir dans sa totalité. De vrais cylindres puisant l’eau à même le sol pour ensuite propulser la vie toute entière vers le haut. Une usine végétale. Vous savez où les trouver? Dans quelques lieux dispersés à Victoria et avec certitude au Jardin botanique VanDusen. Là, ils sont bien identifiés.
Enfin, à ma récente visite, une colonie de pivoine arbustive était chargée de boutons floraux sur le point d’éclore. Nous étions passés trop tôt en saison, pour pouvoir les admirer.
Un Jardin à voir, surtout depuis l’ouverture de son tout nouveau pavillon d’accueil. Et pour la suite, écoutez La matinale à CILS 107,9 FM
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Photo 1 : Sapin de Douglas
Photo 2 : Séquoia
Photo 3 : pivoine arbustive
5.3.16
Réverbère mars 2016
Piaf et
pois
Jardinier
brun
Jamais,
je n'avais entendu un nom pareil. Jardinier brun. Oui, je dis bien
jardinier brun. Un homme brun au jardin me direz-vous ? Non,
loin de là. Au jardin des nations, on retrouve toujours des
individus de toutes les couleurs.
Ici,
je parle d'un oiseau, d'un piaf. Oui, un véritable oiseau qui porte
de surcroit, un nom latin, tout comme il en existe dans le monde
végétal : Son nom savant est le : Amblyornis
inornata
De
plus, sa bande vocale possède une étendue telle que c'est à vous
couper le soufle. Je vous avoue n'être pas très versé en
ornithologie. C'est un peu dommage puisque les oiseaux et les
plantes, au même titre que les insectes, sont des règnes
interdépendants et souverains.
C'est
son nom particulier qui m'a interpellé. Je doute pouvoir un jour le
voir évoluer dans son habitat naturel, sinon, qu'en captivité. Ce
que je ne lui souhaite guère.
Le
voici, chez lui en attente nuptiale.
Pois
carré
Oui,
étrange nom et retour dans le monde des plantes. Une autre surprise
s'offre à nous. C'est le : Psophocarpus
tetragonolobus. Encore
du difficile à prononcer. Qu'importe, un nom commun existe. Le pois
carré origine des régions tropicales dont l'Asie du Sud-Est.
Dommage, mais peu compatible avec notre climat frais et océanique Je
crains pouvoir parvenir à en cultiver.
Ceci
pour dire que 2016 est l'année internationale des légumineuses. Eh
oui ! Ce pois carré qui porte aussi le nom de haricot ailé est
très riche en vitamines comme en prétéines et toutes ses parties
sont commestibles. Voilà pour le partage. Je n'ai pas encore fait de
recherche dans le commerce mais il se pourrait bien que cette
légumineuse puisse se trouver dans des marchés orientaux, indiens
ou chinois, ici ou à Vancouver. Le pois carré se dit goa, en
anglais.
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